Cela faisait plusieurs années maintenant que l'on pratiquait la fessée, Carine et moi. Je lui donnais, elle la recevait. On y était venus doucement, progressivement. Au début ce n'était qu'une claque ou deux sur les fesses pendant l'amour : vous pensez bien je ne pouvais pas rester insensible, les fesses de Carine buttant contre mon ventre, dans des étreintes souvent torrides et sources de plaisirs incroyables. Une de mes mains lâchait ses hanches et s'abattait gentiment sur ses fesses. La première claque, donnée dans le feu de l'action, sans vraiment réfléchir. Et puis les claques sur les fesses se sont multipliées, les mots crus aussi. Carine aimait ça, elle était à mille lieux de ça dans la vie de tous les jours, mais avec moi elle aimait se sentir soumise, les claques tombant sur ses fesses, les mots coquins murmurés dans l'oreille.

La première vraie fessée c'était par jeu : un petit défi entre nous, je l'ai menacée d'une fessée, elle m'a dit chiche. Elle savait pertinemment que je lui donnerai. Ce qui a été le cas : une première expérience pleine d'émotions, de retenue aussi. Avec l'expérience, je me rends compte que j'ai été maladroit, trop pressé, sans vraiment prendre le temps du déculottage qui m'émeut temps aujourd'hui. Je n'oublierai jamais les deux globes rouges de ma chérie tranchants avec le reste de sa peau laiteuse, l'impression de n'être qu'un vilain mari cogneur. Ce que je n'oublierai jamais aussi c'est la façon que Carine a eu de me dire je t'aime, les yeux embués par les larmes. Bien sûr nous avons vite recommencé, nous nous sommes organisés : au départ érotiques, les fessées sont devenues punitives, nous échafaudions des scénarii où j'étais parfois son patron, son professeur ou simplement son mari. Carine prenant un malin plaisir à jouer les étudiantes rebelles, les femmes soumises, les secrétaires dévouées. Tout ça pour mon plus grand plaisir. Je lui donnais la fessée, je n'en avais jamais éprouvé le désir avant de la connaître, cela me paraissait même être la porte ouverte à des v i o l ences graves. Pourtant je la pratiquais sans retenue et sans remords.

C'est Carine qui m'a proposé d'essayer avec autre chose que la main : nous nous sommes achetés ensemble un martinet, c'était un moment assez drôle, dans un sex-shop parisien, Carine demandant, le visage cramoisi, un martinet. Moi hilare, le vendeur arborant un sourire qui en disait long. Le premier essai avec le martinet fut mémorable. Moi me disant que l'on allait trop loin et elle qui me disait encore. Les fesses de ma chérie zébrées, le bruit des lanières de cuir tournant dans l'air, les gémissements de Carine que je n'arrivais pas à interpréter entre douleur et plaisir. Nous allions toujours plus loin, j'avais l'impression d'atteindre mes limites régulièrement alors que Carine elle semblait imperturbable, toujours dans son fantasme, toujours dans ses envies. Mais j'y prenais quand même du plaisir, beaucoup de plaisir. Les fessées, les punitions laissant toujours la place à des étreintes torrides, B e s t i a l es ou tendres selon l'envie du moment.

C'est moi qui lui est demandé de "s'habiller". J'aime le cuir, l'odeur, le toucher du cuir me plaisent. J'ai cru défaillir le jour où Carine a essayé pour la première fois son corset. Elle était à la fois magnifique, vulgaire et irrésistible. Le corset, les bottes et les bas. Cela me rendait fou, une excitation incroyable, l'envie de me donner du plaisir comme n'importe quel fétichiste du cuir. Je découvrais là un pan de ma sexualité que j'ignorais. J’eus bien du mal à rester dans l'esprit de nos jeux ce soir là, j'ai passé plus de temps à caresser Carine par dessus le cuir qu'à lui donner la fessée. C'était devenu un code entre nous. Carine ne portait jamais de cuir pour sortir, dans notre vie officielle. Quand elle en portait c'était une façon de me dire ce qu'elle voulait : être punie, fessée, se sentir soumise, humiliée. Il y a avait de moins en moins de tendresse dans nos jeux alors que paradoxalement nous nous aimions beaucoup plus et nos étreintes étaient d'une douceur et d'une tendresse incroyable, peut-être pour compenser la dureté de nos jeux.

Nous glissions gentiment mais sûrement vers le côté obscur de la fessée.

Je suis rentré un soir à la maison. J'ai retrouvé Carine, insupportable, me provoquant pour tout et pour rien, elle cherchait désespérément un motif de punition. Bien sûr la punition a eu lieu, sévère, sans amour, Carine baissant la tête, les yeux, réprimant ses larmes et ses gémissement alors que le cuir tournoyait dans l'air en sifflant et claquant au contact de sa peau. Nous avons fait l'amour après, tendrement, doucement. Carine était blottie dans mes bras, me tournant le dos. J'ai senti ses larmes couler sur mon bras. Je lui ai bien sûr demandé ce qu'il se passait. Elle m'a répondu qu'elle ne pouvait plus se contenter de fessée, qu'elles soient données à la main ou avec un "instrument". Elle voulait plus, plus fort, plus dur. Je devais être plus sévère, plus méprisant, plus méchant. Elle ne voulait pas continuer comme ça.

J'ai un peu perdu de ma superbe : je ne savais pas trop quoi répondre, mes doutes, mes peurs que j'avais pu avoir au début de nos fessées. L'angoisse de sortir du jeu, de faire mal pour faire mal, de mélanger la vie intime et la vie "officielle". On n'a presque pas dormi de la nuit. Nous avons passé la nuit à discuter. Carine s'est livrée comme jamais cette nuit là. Moi j'ai eu peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas la contenter et surtout peur de la perdre au final. Nous avons pris une drôle de décision cette nuit-là. Carine allait vivre ses fantasmes de femme soumise et moi j'allais me faire v i o l ence.

petit filou

QUELQUES LIENS

Le forum fessée

Une boutique avec du matériel pour la fessée et les punitions

15400 personnes du réseau fessestivites sont intéressées par la fessée Le critère de tri est déjà fait

400 histoires érotiques femmes fessées

150 histoires érotiques d'hommes fessés

1100 vidéos de femmes fessées SANS PUB

Plus de 300 vidéos d'hommes fessés SANS PUB

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque

Il y a aussi des milliers de photos (toujours sans pub) de fessée dans les galeries que l'on vous laissera découvrir ICI.

CINQ JEUX DE SOCIÉTÉ AUTOUR DE LA FESSEE